Par Steven Hubbard | Impact sur l'immigration

Sans faute, chaque jour des impôts, un mythe répandu refait surface et cache la vérité sur les contributions des immigrants aux impôts fédéraux, étatiques et locaux. Soutenu par les médias sociaux et d’autres médias, il affirme de manière trompeuse que les immigrants, en particulier ceux qui sont sans papiers, échappent à l’impôt. Les faits ne confirment pas ces affirmations.

Les immigrants, y compris les immigrants sans papiers, paient des impôts. Notre analyse du Enquête sur la communauté américaine (ACS) 2022 ont constaté que les immigrants aux États-Unis ont un revenu familial combiné de 2.1 382.9 milliards de dollars et contribuent pour 196.3 milliards de dollars aux impôts fédéraux et 1.6 milliards de dollars en impôts nationaux et locaux, ce qui leur laisse un pouvoir d'achat de XNUMX XNUMX milliards de dollars.

Nos résultats soulignent le fait que les immigrants exercent une influence économique significative, contribuant ainsi à soutenir les communautés locales non seulement en tant que consommateurs mais également en tant que contribuables. Comme tous les résidents américains, les immigrants utilisent les services publics, tels que l’éducation, les soins de santé et la sécurité publique.

Mais la contribution économique des immigrants dépasse de loin les coûts de ces services publics supplémentaires. UN Étude CATO 2023 ont constaté que les immigrants de première génération ont contribué en moyenne à 16,207 2018 dollars par habitant à l'économie en 11,361, mais n'ont coûté en moyenne que 4,846 2012 dollars. Cela s'est traduit par un avantage fiscal net de XNUMX XNUMX $ par immigrant en dollars de XNUMX.

Les immigrants sans papiers aux États-Unis contribuent au système fiscal par le biais des taxes sur les ventes, sur le revenu et sur la propriété, souvent en utilisant Numéros d'identification fiscale individuels (ITIN) pour produire des déclarations de revenus. En 2022, les immigrants sans papiers disposaient d'un revenu familial combiné de 290.0 milliards de dollars et payaient 21.5 milliards de dollars d'impôts fédéraux et 13.6 milliards de dollars d'impôts nationaux et locaux. Leur pouvoir d’achat combiné était de 254.8 milliards de dollars. Malgré leurs contributions substantielles, beaucoup n’ont pas droit aux prestations soutenues par leurs impôts, telles que les prestations de sécurité sociale et de Medicare ou le crédit d’impôt sur le revenu gagné.

Les impôts payés par les immigrés sans papiers contribuent également à financer l'enseignement supérieur public, mais les immigrants sans papiers sont souvent incapables de profiter des avantages offerts par les options de scolarité dans l'État. Une analyse du Portail d'immigration pour l'enseignement supérieur développé par l'Alliance des présidents sur l'enseignement supérieur et l'immigration, a révélé que 26 États n'offrent pas de cours sur place aux résidents sans papiers.

Alors que nous traversons une nouvelle saison fiscale, il est crucial de s’attaquer et de dissiper les idées fausses largement répandues sur les immigrants et leurs contributions fiscales. Les faits sont indéniables : les immigrants, y compris ceux qui sont sans papiers, non seulement respectent leurs obligations fiscales, mais améliorent également considérablement notre économie grâce à leurs contributions. Le revenu collectif de leurs ménages entraîne le paiement d’impôts fédéraux et étatiques considérables, ce qui a un impact économique profond. De plus, leur pouvoir d’achat, qui se chiffre en milliers de milliards, met en évidence leur rôle indispensable en tant que consommateurs et contribuables efficaces dans nos communautés.

Pourtant, malgré leurs contributions notables, de nombreux immigrants, en particulier ceux qui sont sans papiers, sont confrontés à une contradiction difficile. Ils contribuent aux services par le biais de leurs impôts mais restent inéligibles à l'accès à plusieurs services. Cette situation jette les bases d’une conversation plus approfondie sur l’équité et le soutien communautaire. En abordant les questions clés en matière d’immigration, nos discussions et nos décisions doivent être fondées sur des faits. Cette approche garantit que chaque membre de notre société est dûment reconnu pour sa contribution.

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